top of page

La guerre 1870-1871

Pour comprendre cette guerre presque oubliée, voici une petite vidéo vue sur le Web où en 2020, Éric Anceau, maître de conférences à la Sorbonne à Paris explique parfaitement les enjeux qui ont fait déclencher la guerre franco-prusienne.

A Blodelsheim, la famille Valentin sera au cœur de cette guerre dans une Alsace déchirée, mais aussi d'anciens curés de Blodelsheim et de nombreux jeunes Blodelsheimois enrôlés dans l'Armée de Napoléon III.

 1870, la déchirure

 

En 2020, à l'occasion des 150 ans de la guerre franco-prussienne, voilà comment le magazine : "Les Saisons d'Alsace" décrivait ce conflit de 1870-1871...

" Il fut un basculement pour l’Europe et une déchirure pour l’Alsace-Moselle. Il y a 150 ans, le 19 juillet 1870, la France a déclaré la guerre à la Prusse… Dès le mois d’août , l’empire de Napoléon III a subi, dans le nord de l’Alsace, deux défaites cinglantes : le 4 à Wissembourg, le 6 à Wœrth-Frœschwiller. Le ton était donné : les forces allemandes ont alors avancé vers une victoire inexorable.

Un siècle et demi plus tard, les Saisons d’Alsace revient sur ce moment fondamental de l’histoire régionale. Il retrace les combats et met l’accent sur le ressenti de la population et de ses élus face à ce retour dans la sphère germanique, après plus de deux siècles de vie française. Enfin, il s’intéresse à la délimitation des nouvelles frontières et au culte du souvenir qui s’est développé après le conflit dans ce qui est devenu un « pays d’Empire », le Reichsland Elsass-Lothringen.

Au fond, dans les années qui ont suivi le séisme de 1870, l’Alsace a pris conscience de sa féconde dualité : elle a découvert qu’elle n’était ni totalement germanique, ni totalement française, mais influencée par ces deux cultures de façon indélébile".

En 1971, un siècle après ce conflit voici ce qu'écrivait Paul Stintzi, historien sundgauvien...

 

Après la défaite et l’abdication  de Napoléon III en 1870, le Président GAMBETTA organisait la défense du pays, mais il était trop tard !

​

Au Château de Versailles a été proclamé, le 18 janvier 1871 l’Empire Allemand, le roi Guillaume 1er de Prusse est nommé Empereur du Reich Allemand, et Bismarck Chancelier.

Le 29 janvier est signé le traité de paix

L’Alsace était occupée par l’Allemagne et imposait de lourdes charges aux 3 départements (H. Rhin, B. Rhin et Moselle). Mais l’Allemagne vainqueur du conflit avait l’ambition et voulait ces trois départements.

Les pourparlers pour la paix entre le Chancelier Bismarck et le chef de l’exécution français THIERS furent très difficiles. Les revendications de Bismarck, inflexible exigeait sans conditions l’Alsace et la Lorraine.

L’assemblé national réfugier à Bordeaux devait se prononcer sur le sort de la Province.

Le 17 février 1871, de triste et dramatique scènes se sont déroulées vu les protestations des parlementaires (députés) alsaciens et lorrains qui ne voulaient surtout pas accepter que la province soit séparer de la France.

Le député Emile KELLER, porte-parole de ses collègues, à haute voix, pour que tous doivent l’entendre prononça un discours de désespoir en ces termes :

L’Alsace et la Lorraine protestent hautement contre toute cession. La France ne peut consentir, l’Europe ne peut sanctionner … ! Nous prenons nos concitoyens de France, les gouvernements et les peuples du monde entier à témoins, que nous tenons d’avance pour nul et non avenus, tous les actes et traités, votes et plébiscites qui consentiraient abandon en faveur de l’étranger de tout ou partie de nos Provinces de l’Alsace et la Lorraine.

Nous proclamons par les présentes à jamais inviolable de droit des Alsaciens et des Lorrains de rester membres de la nation française… !

Mais que pouvait faire la France vaincue… ?

L’assemblé national à ratifiée le 28 février 1871 le traité de paix préliminaire. Le sort de l’Alsace Lorraine est scellé, le vote des membres ou députés de l’assemblé national donnait le résultat suivant : 548 voix oui… ! 107 contre … !

Le 1er mars, KELLER à la tête des députés alsaciens et lorrains dans le discours de ce jour, s’adressant à l’assemblé en la suppliant de ne pas abandonné la province. Le parlementaire GROSJEAN, au nom des 28 députés du H. Rhin, B. Rhin, et Moselle a fait une déclaration, qu’ils n’acceptent pas ce contrat sans l’aveu de tous et leur consentement.

<< Livré au mépris de toute justice et par un odieux abus de force à la domination de l’étranger, nous déclarons encore une fois nul et non avenu un pacte qui dispose de nous sans notre consentement. Au moment de quitter cette enceinte la pensé suprême que nous trouvons au fond de nos cœurs est une pensée d’inoubliable d’attachement à la patrie dont nous sommes violemment arrachés … ? >>

Sur ce, les députés alsaciens et lorrains quittèrent l’assemblé national de Bordeaux qui ressemblait à un enterrement.

Le 10 mai 1871 le traité de paix est signé à Frankfort et le sort de la Province Alsace Lorraine est abandonné. Une clause parmi d’autres a défini que les habitants de la Province qui veulent garder la nationalité française peuvent << optés >> pour la France mais devront quitter l’Alsace et la Lorraine pour le 1er octobre 1872.

 

Résumé d’un texte paru dans l’Almanach d’Alsace 1971, par Paul STINTZI.

​

A Blodelsheim, la famille Valentin est gardée en mémoire grâce à la rue qui porte son nom, elle fut inaugurée en 1961. Cette famille illustre de jadis fut une famille nombreuse de 13 enfants. Deux garçons de cette famille se sont illustrés du côté français dans cette guerre franco-prussienne. Ces deux garçons nés à Strasbourg passèrent les premières années de leur vie à Blodelsheim. Ce furent Marie Edmond Valentin, homme politique, il fut le dernier Préfet du Bas-Rhin en 1870 et Marie Jules Valentin, militaire de haut-rang qui fut des batailles de Sedan, Bazeilles et de Franche-Comté. Ils défendirent les couleurs françaises avec ardeur, mais durent s'incliner devant la force de frappe prusienne !

Pour en savoir plus sur cette famille Valentin, consulter le thème : "Familles illustres de jadis"
sur ce site.

Voici une petite vidéo qui retrace de quelle manière l'Alsace et la Moselle furent perdues pour la France le 1er mars 1871.

Cliquer sur la note
pour le son.

Un document en version mp3 de "2000 ans d'Histoire" de Patrice Gélinet évoque très justement l'Alsace et la Moselle devenues allemandes définitivement  le 10 mai 1871.

1871 - l'Alsace devient allemande
00:00 / 29:22

Deux anciens curés de Blodelsheim furent au coeur de cette déchirure alsacienne en 1870-1871 :

l'abbé François-Joseph Meyer, devenu chanoine à Lauterbourg et l'abbé Joseph Philippi devenu curé à Molsheim et député-protestataire pour la circonscription de Mosheim-Erstein.

La guerre franco-prussienne vue par le chanoine François-Joseph Meyer de Lauterbourg ancien vicaire de  Blodelsheim de 1849 à 1851.
 
Dans : « Les Saisons d’Alsace » N°84 de juin 2020.
Extrait d’un article de Claude Muller, historien alsacien de référence.
 
Curé de Lauterbourg depuis 1869, François-Joseph Meyer (1820-1901) rédigea, au jour le jour, une chronique paroissiale. Cultivé, ce prêtre lit la presse tant française qu’allemande. Le hasard se son affectation fait qu’il se trouve aux premières loges pour assister à l’entrée des troupes ennemies en Alsace et pour entendre les réactions bruyantes en provenance de Rastatt et de Karlsruhe. Dès le début de son récit, il se montre au courant de la politique européenne : « La candidature d’un prince de Hohenzollern au trône d’Espagne ayant rendu la guerre imminente entre la France et la Prusse, notre petite garnison (française) nous quitta aussitôt. Notre frontière resta ainsi sans défense de Lauterbourg à Wissembourg, quoique la Bavière et le Grand-Duché de Bade eussent prit fait et cause pour le roi de Prusse. » Deux jours après la déclaration de guerre, il voit déjà, de l’autre côté de la Lauter, des dragons badois à cheval.
La ville est prise sans résistance le 26 juillet 1870. L’armée badoise précède de peu l’armée wurtembergeoise. Le 5 août, le curé : « Le grand-duc de Bade Frédéric 1er de Bade, marié à Louise de Prusse, la fille de Guillaume 1er  a soupé hier chez Samuel Aucher, mais il n’a pas passé la nuit. »  Deux princes wurtenbergeois étaient allés à la  mairie pour demander s’il n’y avait pas de ravitaillement pour eux. » Le 17 octobre il ajoute : « Les soldats de la Landwehr badoise nous ont quittés hier pour s’en retourner à Rastatt. Ils ont été remplacés aujourd’hui par 40 hommes de la Landwehr bavaroise. » Tout paraît clair à cet instant de la lecture : les troupes recensées par François Joseph Meyer sont badoises, bavaroises et wurtembergeoises, donc allemandes. Pour autant, une lecture plus approfondie de la chronique paroissiale bouscule ce schéma initial. Lorsque le diariste évoque le passage au galop de soldats badois, il précise qu’une femme crie : « Die Preussen sind da ! » (Les Prussiens sont là ! »). Le 5 août il maugrée : « Les Alsaciens sont Français de cœur et d’âme et ne demandent nullement à être Prusiens. Car si la France devait être vaincue, l’Allemand et le Prussien ne seront plus seul et même chose, c’est à dire que toute l’Allemagne deviendrait un seul empire sous la domination du ci-devant roi de Prusse. » Le 11 il peste encore : « Les Allemands nous considèrent déjà comme Prussiens. »
L’ecclésiastique traduit mieux ses réflexions, qui vraisemblablement aussi ses désirs, le 18 août : « Les soldats de la Landwehr, presque tous des « Musspreussen » (Prussiens malgré-eux) ont le plus grand désir de retourner dans leurs familles. Ils affirment que Bismarck et le roi de Prusse Guillaume 1er  seront maudits dans l’Allemagne du Sud. Ils comprennent fort bien que, quoique vainqueurs, car, si Bismarck triomphe, l’Allemagne aura perdu sa liberté et son indépendance. Tant pis pour la Bavière, le grand-duché de Bade et le Wurtemberg ! Ils l’auront voulu et mérité. » Le 28 septembre, le curé enfonce le clou : «  Il nous faut dès à présent nous préparer à devenir Prussiens en vertu du droit au plus fort. »
 
En tant qu’auteur de ce thème de la guerre 1870-1871 sur ce site internet, je rajouterai :
 
Incroyable ce chanoine Meyer, ancien vicaire de Blodelsheim… il a exactement le même point de vue que l’abbé Philippi, dire que les deux accueillirent les badois aux missions de Blodelsheim et allèrent maintes fois missionner en Pays de Bade jusqu’en Forêt-Noire, Philippi par les Badois surnommèrent eux-mêmes : « Der Apostel Badens » (L’apôtre des Badois).
Mais les deux ecclésiastiques furent et restèrent français de cœur dans une Alsace devenue allemande jusqu’à la fin de leur vie.

 

Personne mieux que Philippi ne personnifia cette tragédie de l'Alsace-Moselle perdue par la France.

 

Dans les années 1841-1854 il cotôya souvent les Badois venus à Blodelsheim à l'occasion de missions et alla bien des fois en Pays de Bade et en Forêt-Noire, il fut l'ami des Badois qui l'appelèrent : "Der Apostel Badens" (l'apôtre des Badois).

En 1871, il fut curé de Molsheim. En 1874, 20 ans après avoir quitté Blodelsheim, il fut élu député-prostestataire et fut un ardent défenseur de la cause française au Reichstag à Berlin, mais en vain, il en revint traumatisé !

15 députés-protestataires alsaciens-mosellans pour défendre leur cause dans une Allemagne sans concession... parmi eux l'ancien curé de Blodelsheim, l'abbé Joseph Philippi !

Des témoins et acteurs en première ligne de ce conflit furent l'abbé Jean-Baptiste Soehlin, curé de Neuf-Brisach et donc Joseph Philippi, curé de Molsheim... l'ancien curé de Blodelsheim de 1836 à 1854. Se substituant à la Société civile, ils devinrent députés-protestataires pour leur circonscription respective, l'abbé Soehnlin pour celle de Colmar et l'abbé Philippi pour celle de Erstein-Molsheim. De 1874 à 1877 ils siégèrent au Reichstag à Berlin.

Titre 2

L'abbé Jean-Baptiste Soehlin fut aux côtés des défenseurs de la Place forte de Neuf-Brisach en 1870 mais après 33 jours de siège, face aux Prussiens, les défenseurs de la Place rendirent les armes le 11 novembre 1870.

Limites de l'Alsace-Moselle perdues par la France après le Traité de Francfort.

Voici un extrait de la biographie de l'abbé Philippi qui relate les conséquences de l'Alsace-Moselle devenue allemande... et les états d'âme du curé.

Dans la biographie du curé Philippi il est largement fait mention de cette déchirure d'une Alsace-Moselle devenue allemande suite au Traité de Francfort du 10 mai 1871.

Voici ci-contre et ci-dessous comment cet abbé Philippi vécu son temps de député-protestataire de 1874 à 1877.

L'abbé Joseph Philippi ne verra plus le retour de l'Alsace à la France, il est décédé à Molsheim le 1er février 1891.

Dimanche 9 mai 2021, le journal L'ALSACE consacra une pleine page à ce souvenir douloureux, où l'Alsace et la Moselle devinrent allemandes après le Traité de Francfort signé le 10 mai 1871. Ce traité fit suite à l'humiliante défaite française de la guerre 1870-71 face à la Prusse qui devint l'Empire allemand.

L'Alsace et la Moselle restèrent allemands pendants 47 ans, de 1871 à 1918. Voici ci-dessous des Alsaciens qui furent combattants français durant la guerre 1870-1871 puis devinrent des citoyens allemands et donc 47 ans plus tard, décorés à Strasbourg par les autorités françaises en 1918.

En 1872 les alsaciens-mosellans réfractaires furent expulsés dans la France de l'intérieur comme on dit, on les appela : "Les optants".

De nombreux Blodelsheimois devinrent "optants", d'autres émigrèrent aux États-Unis.

De nombreuses familles furent déchirées à tout jamais !

Ce volet des "Optants" est traité sur une autre page de ce site.

Cette tragédie de l'Alsace-Moselle perdue par la France en 1871 a été ici résumée à travers Blodelsheim du mieux possible à l'aide des documents du magazine "Les Saisons d'Alsace", dessins, coupures de presse éditées par le journal "L'Alsace" en 1979 comme s'ils avaient été rédigés en 1870 et 1871. D'autres textes sont repris des archives de Émile Decker †.

La famille Valentin qui habita Blodelsheim de 1837 à 1913 illustre la tragédie d'une Alsace allemande dont les enfants furent séparés à jamais par ce conflit, certains restèrent français en 1871, d'autres devinrent allemands... mais tous restèrent français de coeur !
 
Le 8 octobre 2021 le journal L'ALSACE évoque dans sa page "Région" le peintre Jean-Jacques Henner qui opta en 1871 pour la nationalité française après la débâcle de 1870.
 
A la demande d'épouses d'industriels de Thann réunies autour d'Eugénie Kestner il peignit un tableau intitulé :

L'Alsace. Elle attend...

Des familles aisées attendirent le retour de l'Alsace à la France, qui ne se fit qu'après la fin de la Première Guerre Mondiale en 1918.
 
Quel est le lien avec Blodelsheim ?

Une des préceptrices chargées de l'éducation des filles de Charles Kestner et Marguerite née Rigau ne fut autre que la fille ainée de la famille Valentin de Blodelsheim : Rose.

La fille ainée de ce chimiste Thannois fut Eugénie Kestner (1828-1862) est-ce elle qui fit la commande du tableau dont il est question dans l'article de presse de L'ALSACE ? Sans doute que non, puisqu'elle décéda en 1862. Ce fut probablement sa fille de même prénom Mathilde Eugénie Risler-Kestner (1850-1920) mariée à Jules Ferry (homme politique)... si c'est elle, elle aura encore vu l'Alsace redevenir française.

Toujours est-il que ces familles Kestner de Thann et Valentin de Blodelsheim se connurent et furent des symboles de cette Alsace arrachée à la France en 1871 qu'ils ne cautionnèrent pas  !
 

Voici ce que Émile Decker a écrit au sujet de Rose Valentin :"...une fille, l’aînée, Rose (1816-1886) a également fait un parcours exceptionnel dans sa vie. Après d’excellentes études, on la retrouve institutrice et préceptrice chez Madame Eugénie KESTNER, épouse de Charles, ingénieur chimiste de Thann. En 1847, âgée de 30 ans, Rose entra dans les ordres sous le nom de Sœur Marie Rose. Elle se distingua par sa ferveur, sa régularité et son instruction. Nommée Supérieure de la maison religieuse de la Congrégation de Notre-Dame de Sion à Constantinople, elle contribua à l’extension de l’œuvre en Orient.

 

 

Pour en savoir plus sur la famille Valentin, consulter le thème : "Familles illustres de jadis" sur ce site.

Comme ce tableau présenté ci-haut, appelé : L'Alsace. Elle attend les alsaciens et mosellans ont dû attendre près de 48 ans pour voir ces provinces revenir à la France, le 11 novembre 1918. Ces anciens combattants alsaciens de la guerre de 1870-1871 eurent encore ce bonheur...

L'Alsace et la Moselle furent donc allemandes durant près de 48 ans. A partir de 1871 se constitua un "Droit local" en couches successives faites de droit français, allemand et provincial comme le présente le journal "L'Alsace". "Droit local" auquel tiennent aujourd'hui encore l'Alsace et la Moselle.

Les députés-protestataires alsaciens-mosellans...

Pour revenir aux 15 députés-protestataires alsaciens-mosellans au Reichstag à Berlin de 1874 à 1877 voici les portraits de 14 d'entre-eux... seul est introuvable, le portrait de l'ancien curé de Blodelsheim, Joseph Philippi qui fut élu pour la circonscription d'Erstein-Molsheim !

Les portraits de neuf d'entre-eux sont en première page du "Le monde illustré" journal parisien en février 1874 alors que l'Alsace-Moselle furent déjà allemandes depuis trois ans.

Ce ne fut que le début d'une époque troublée pour l'Alsace et la Moselle !

En 1874 Mgr Raess, l'évêque de Strasbourg, accepta le Traité de Francfort de 1871 ayant pris la parole au Reichstag... pensant s'exprimer au nom de ses confrères députés alsaciens-mosellans. Ceux-ci le désapprouvèrent promptement !

Voici un lien vers cet épisode décrit par Wikisource qui évoque le désaveu des 14 députés-protestataires envers Mgr Raess...

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Protestation_de_l%E2%80%99Alsace-Lorraine_en_1874/01

Octobre 2023.

bottom of page